Ne me mangez pas ! Je ne suis qu'un petit mouton !! Mais si vous tenez absolument à vous en prendre à moi.... -Underco

Kim Natsumi

Être est un verbe si commun.

Nom : Natsumi
Prénom : Kim
Âge : 15 ans et demi
Sexe : ~~Mouton~~ Masculin
Nationalité : Anglo-japonaise
Orientation : bi même s'il est plus attiré par les hommes
Groupe : Cancer
Battle : Non
Arme : Un couteau pliable et ...une écharpe, étrange mais très utile !

Qui peut cacher bien des choses

Pseudo : Edyuu 003
Âge : 16 ans
Double compte ? : Nop !
Visuel : Kazemaru Ichirouta, de Inazuma eleven
Comment es-tu arrivé(e) ici ? Par hasard
Un p'tit mot ? Et le thème ? *meurt*: Magnifique, j'aime vraiment !
Et le code ? Validé par Satsuki

Seule une goutte ne peut-être la pluie

Kim Natsumi... Ton nom signifie pluie d'été en japonais, mais tu n'es en rien ces gouttelettes qui abreuvent le sol brûlant de la saison estivale. Disons que tu es le contraire. Tu n'es pas non plus les pluies gelées d'hiver qui tombent quand il ne fait pas assez froid pour neiger. En fait... tu n'es qu'une goutte, une seule et unique goutte. Quand tu te mêles à une foule, tu sembles si commun et différent pourtant. Tu te mouves souplement et sans difficulté parmi les personnes. Ton corps est dénué de muscles, tu es presque féminin avec ta jolie taille et tes mains fines. On ne te remarque pas beaucoup, sûrement parce que tu n'es pas très grand. Tu fais un mètre soixante quatre, ce qui n'est pas beaucoup pour un garçon de ton âge. Tes cheveux t'arrivent en haut du dos. Ils sont d'un bleu turquoise parfois plus proche du vert que du bleu. Tu les attaches en queue de cheval haute avec un simple élastique, les laissant pendre, virevoltant avec toi quand tu te déplaces.
Une grande mèche te mange la moitié du visage, c'est dommage. Tu serais si mignon si on pouvait voir entièrement ton visage délicat et tes yeux. Ils sont d'un marron boue vaseux. Un ton si répugnant pour un regard, mais parfois ils deviennent d'un rouge profond, presque sanguin.

Tes doigts sont bandés, et couverts de coupures. Tu ne fais pas très attention à toi, c'est dommage. Tes vêtements sont simples, un slim, une chemise, et par dessus un pull, et des baskets sales. Ce que tu gardes tout le temps sur toi sont une écharpe et un couteau pliable.
Le couteau se trouve dans ta poche avant-droite tandis que les pans de ton écharpe pendent sur ton buste, question de sécurité.

Ton nom est peut-être pluie d'été, mais seule, une goutte ne peut être la pluie.

Tu es un agneau non pas sans crocs

Tu hais le bruit, préférant le calme et le silence. On te nomme le mouton. Tu ne bêles pas mais tu suis sans réfléchir, on peut t'ordonner n'importe quoi tu le feras proprement, sans rechigner à la tâche et en silence.
Tu ne supportes pas d'être surpris. Tu bondis au moindre bruit. Pauvre petit mouton. Tes joues rougissent sans arrêt quand tu es trop gêné. Tu es si mignon quand on veut relever tes cheveux qui te cachent, tu t'effarouches et te caches. Cette mèche qui te cache... elle est comme une barrière qui te protège du monde.

Quand tu es trop effrayer tu fuis. Lorsque tu te sens attaquer tu t'échappes. Oui, car tu as un instinct, presque animal. Tu es un mouton après tout et tu n'as pas confiance en toi. Tes notes ne sont pas excellentes en classe parce que tu as peur de te tromper, pourtant tu n'as plus personne à décevoir.

Mais quand tu te retrouves acculé contre un mur, sans échappatoire tu ne peux que sortir tes crocs. Oui, car tu es un mouton qui mord et qui tue. Ton regard devient rouge sang et tu sors tes armes près à te battre. Tu es propre et ne fais pas de bavure... ta victime ne souffre presque jamais.

Souvent tu es seul. Tu es assis sur un banc, une marche d'un escalier, une table de classe, une chaise ou à même le sol. Tu ne fais rien... ou presque. Tes journées, tu les passent à tresser des bouts de ficelles. Tu connais tous les nœuds qui puissent exister et tu les répètes inlassablement. Tu es prisonnier de ton passé... et tu ne veux plus te lier aux autres car se seront peut-être eux tes prochaines victimes.

L'histoire est une chose qu'on ne peut se défaire.

Tu la dévisages, caché derrière ton père. Tes petits poings d'enfants, serrent ses vêtements. En soupirant, il te pousse avec douceur vers elle. Tu le lâches à contre cœur, préférant fixer tes pieds que de croiser le regard trop bleu de cette inconnue. Mais elle s'agenouille et redresse ton menton. Elle sourit.
- N'es pas peur, Kim... Je suis ta nouvelle maman.
Tu ouvres de grands yeux. Une maman ? Tu n'en a jamais eu. Ta génitrice est morte en couche et tu te souviens que trop bien, ces instants d'incompréhension quand une femme venait chercher tes amis. Pourquoi est-ce que toi, tu n'avais pas de maman...
Alors, tu souris doucement à ton tour.

Tes petites jambes pendouillent dans le vide. Les lacets sont défaits et traînent par terre. Tes traits ne sont qu'une moue d'enfant contrarié. Tu n'y arrives jamais et ton père n'a jamais le temps pour s'occuper de ton éducation. Tu commences à balancer lentement tes jambes, les bouts de cuir raclent par terre en faisant un petit bruit sur le parquet.
- Kim, tu vas être en retard pour l'école ! Dépêche toi de finir de te préparer !
Tu grognes que tu n'arrives pas à ficeler tes lacets. Tu apprêtes à sauter de la chaise mais une silhouette se penche pour t'aider.
- Regarde bien, mon enfant... Regarde bien... c'est un double nœud pour lacer tes chaussures. Regarde bien et apprends.
Tu fixe les doigts qui s'affairent et tu comprends. Alors, tu mets ce nœud dans un coin de ta mémoire.
- Merci Maman.

Il y a une semaine que ton père n'est pas rentré. Il est capitaine sur un chalutier. Tu n'es pas inquiet, tu sais que c'est un grand voyageur et pourtant...
- Maman, quand est-ce que Papa va rentrer, demandes tu de ta voix d'enfant.
Elle s'est retourné vers toi, ses longs cheveux noirs coulants sur ses hanches semblent flotter un moment. Elle ravale sa salive avant de te parler.
- D... Dans pas longtemps ne t'en fais pas, mon chéri. Tu es au courant qu'il peut s'absenter pendant de longs mois.
Il y a quelque chose d'étrange dans sa voix mais tu ne le remarques pas. Tu es trop jeune.
- Moi plus tard, je voudrais être marin comme Papa !
Elle sourit.
- Tu sais qu'il y a beaucoup de choses à apprendre ?
Tu hoches la tête avec énergie.
Elle te fait assoir sur ses genoux. Elle attrape un bout de ficelle qui traîne.
- Regarde bien, mon enfant... Regarde bien... c'est un nœud huit, un nœud d'arrêt. Regarde bien et apprends.
Tu fixe les doigts qui s'affairent et tu comprends. Alors, tu mets ce nœud dans un coin de ta mémoire.
- Merci Maman.

Le verre se brise sur le carrelage.
- Alors tu m'as menti pendant toutes ses années ?!!
Ta voix est un mélange de douleur et de colère. Ton visage est un rictus de tristesse. C'est normal, tu as vécu neuf ans dans le mensonge. Tu en assez, tu as l'impression que ton crâne va exploser. Tu sors de la pièce, à grandes enjambées. Une main essaye de t'arrêter ainsi qu'un appel suppliant.
- Lâche moi ! Ne me touche pas ! Ne me touche plus !! T'es pas ma mère !!! Je te déteste !!
La porte claque derrière toi. Tu as bien grandi maintenant et elle te croyait assez mûr pour t'avouer que ton père était mort en mer. Erreur.

Lentement, tu ouvres péniblement la porte de la maison. Tes joues sont encore ruisselantes de larmes. Tu t'en veux de ces paroles chargées de fureur et d'horreur.
- Maman... Je suis rentré.
Pas de réponse. Tu renouvelles ton appel. Rien. Tu rentres précipitamment dans la cuisine. Erreur.
Les bouts de verre sont toujours répandus sur le sol. Et au milieu de la pièce... danse ce corps dont les cheveux noirs flottent dans l'air trop renfermé.
Tu cries. Tu cries jusqu'à ce que tes poumons n'en puissent plus. Les larmes sont revenues et elles coulent sur tes joues. Tu t’effondres par terre en gémissant. Mais tu relèves la tête comme si une voix te disait : Regarde bien, mon enfant... Regarde bien... c'est un nœud coulant, un nœud pour pendus. Regarde bien et apprends.

Il est tôt aujourd'hui. Tu as pu faire ton deuil mais les blessures sont toujours là. Au fond. Tout au fond de ton cœur. Tu soupires. Tu rentres dans un nouveau lycée, ce matin. Tu ne sais pas si cet établissement va te plaire, si tu vas te faire des amis. Tu sais juste que tes dernières paroles pour elle ont été : "Tu n'es pas ma mère !!! Je te détestes !!"
Tu mets tes chaussures avec lenteur et fais un double nœuds à tes lacets avant de sortir...

KAZEMARU ♥
INAZUMA FTW \o\o/o/ *Se pend*

Bienvenu(e ?) :'D

RAAAAH NAW, CREVEZ-MOI KAZEMARU, IL ÉTAIT MIEUX EN DARK EMPEROR D8 *sort*
C'est kewl les moutons, ça fait barbe à papa au niveau des poils *q*
(oui pardon, je vois de la bouffe partout 8D /PAN/)

Anyway, welcome here, dude o/
Et fais pas attention à ma voisine du dessus, elle va juste essayer de te kidnapper ~~et de te violer~~ juste parce que ton visuel est Kazemaru 8D

HEYYYYYYYYYYYYY, DÉVOILE PAS MON PLAN TOI D8 -Le viol n'en fais pas partis mais après tout 8D //PANPANPAN//-

Nan mais Kaze' il gère ** -Y'a pas que lui, mais si je dois cité tous ceux qui gère, on y est encore demain :'D-

... Lilou... Tu envisages sérieusement de me tromper ? ;w;
Sinon, bienvenue à toi, fais gaffe aux fangirls d'Inazuma (je suis une fangirl... Mais pas d'IE. Désolée. 8B) et attention aux gnufs qui se trimballent un peu partout 8D ET ME PIQUE PAS MA FEMME è^é *enchaîne Lilou au lit à côté de Terra et Vanitas* VOILA, TU BOUGES PLUS MAINTENANT.

Haha, look comme je change de compte spécialement pour te dire bienvenue 8D /SHOOT/

Bienvenue ici o/
Thème le thème ? Ça m'émue beaucoup QwQ *câlin*

Mais non, Jamais j'oserai -Je peux juste le kidnapper ? promis je l'enferme dans le placard-

Mais, de- Quoi ?!..TERRA ET VANITAS ? C'EST QUI EUX ? D8

Tu oserai pas me tromper hein ? D:

Merci à vous tous pour ces charmantes paroles de bienvenue diverses et variées ^^"

Lilou, tu peux me kidnapper mais gare à toi, s'en prendre à un mouton n'est pas sans effet secondaire. Surtout si tu t'en prend à Kim.

Sinon, je tâcherai de faire attention...