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Dossier élève
Mon guide:: /
Mon arme:: Plusieurs petits couteaux. ♪
Chambre: 5 ~♪
 | | Sujet: Passes ton chemin...pourquoi ? Parce que j'ai envie, c'est tout... | Terminé ~♪ Mar 22 Mai - 18:28 | |
| ❝ Yukari A. & Shûzen ❞ ❝ Malgré ce qu'on subit et ce que l'on fait subir, il faut toujours avancer... ❞ ❝ Identité❞NOM : [ Shûzen ]
PRÉNOM(S) : [ Yukari ; Akuma ]
ÂGE : [ 15 ans ]
SEXE : [ ♀ ]
CLAN : [ Libra ]
NATIONALITÉ : [ Japonaise ]
ORIENTATION SEXUELLE : [ *HIGKICK* Mouhaha 8D ]
BATTLE : [ Oui ]
ARME : [ Plusieurs couteaux, Izaya style ]
❝ Hors RP ❞SURNOM : [ Momo ; Lacie ; Yukari \o/ ]
ÂGE : [ 14 ans ]
DOUBLE COMPTE ? : [ Nop ]
AVATAR : [ Kanra / Durarara !! ]
COMMENT TU ES ARRIVÉ ICI : [ Uh uh, that is the question ]
UN MOT POUR LE FORUM : [Il est super *^*]
CODE : ]Ok -Crimson- ] |
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❝ Physique ❞ A quoi ressemble-t-elle ? Bah, Yukari est une jeune fille banale, elle mesure 1m 66 pour 45 kilos, non et non, elle n’est pas anorexique, y’a pas de souci de ce côté-là. Y’en a un autre part, mais c’est autre chose, on en parlera après. Elle a des cheveux bruns, tantôt aux épaules, tantôt en bas du dos, tantôt attachés, tantôt relâchés, car elle aime varier la taille et sa coupe de cheveux avec des rajouts, et même des mèches de couleurs quand elle en a envie. Sa peau est blanche, contrastant parfaitement avec ses yeux rouges écarlates la plupart du temps, virant parfois vers le marron, peut-être à cause de la luminosité, ou du temps, on ne sait pas vraiment. Elle maîtrise le karaté, art dans lequel elle n’excelle pas, mais vous mets plus ou moins facilement à terre - mais elle ne gagne pas toujours hein, elle a seulement les bases -. Il y a une seule chose qu’elle maîtrise à un niveau très haut, c’est le maniement du couteau. Quand elle est seule, elle en sort un, souvent pour le faire tourner entre ses doigts, avec une aisance impressionnante. Son style de vêtement n’est pas bien complique c’est toujours - ou très souvent – le même. Un manteau bordé de fourrure au niveau de la capuche, des revers de manches et du bas de son manteau, un t-shirt à manche longue assez détendu de couleur marron claire, accompagné d’un slim ou d’une jupe noirs. ❝ Caractère ❞Yukari ? C'est une je-m'en-foutiste de la vie . //SBAFF// Nan, c'est pas vrai, en fait, elle s'enferme souvent dans sa bulle. Elle ne fait pas trop attention à ce que dise les gens sur elle, et ne réplique pas très souvent non plus. Discrète et silencieuse, elle adore dessiner. Toutes ce qu'elle ressent passe au travers de son crayon, traçant les sentiments qu'elle ressent au moment même. Son sourire, plutôt rare avouons le, ne s'affiche qu'en compagnie des gens qu'elle apprécie, ou, quand un sujet l'intéresse, ou quand elle joue de la guitare électrique et qu'elle chante aussi, ça la met de bonne humeur. Vous ne l'entendrez jamais, ou presque jamais, crier sur quelqu'un. C'est « tellement inutile » d'après elle. Elle aurait recours à la colère qu'en cas d'extrême urgence, sinon, jamais. A quoi bon se défouler sur quelqu'un s'il ne vous a rien fait, ou pas grand chose ? Telle est sa façon de penser. Elle aime se plonger dans les livres, s'éloigner de la réalité, pour percevoir un monde fictif, beaucoup plus passionnant que le monde réel, un rêve s'épanouissant jusqu'à vivre, ou mourir. Oui, elle ferait tout pour partir le plus loin possible, et les livres sont sa seule porte, sa seule entrée vers un mode pareil, c'est pour ça qu'elle les aime tant. Elle aime s'en servir pour établir des stratégies aussi. Mélanger tel ou tel piège pour n'en former qu'un, ou une telle façon pour prendre la fuite, ou se défendre. Tout ce qu'elle sait ou qu'elle veut savoir, elle l'apprend dans les ouvrages. Sinon, quand ça lui prend, elle aime rembarrer les gens, gentiment bien sûr, mais parfois, on ne sait plus trop quoi dire. Ah, et elle est plutôt gourmande aussi, elle aime les taiyakis, elle adore les taiyakis, elle plussoie les taiyakis même. ❝ Histoire ... ❞Son histoire ? Alors, asseyez-vous tranquillement, prenez du pop-corn, un Coca, et écoutez.
Yukari, enfant unique, vivait avec ses parents, parents qui l’aimait, la choyait et l’adorait. Il vivait dans un manoir, au bord d’une falaise, loin de l’agitation et la pression de la ville. Cependant, l’école était à une bonne heure de voiture, la jeune fille était vraiment trop loin, mais elle n’y allait pas. Pas qu’elle ne voulait pas suivre la même éducation que tous les enfants, mais elle ne pouvait pas, elle était incapable de sortir. Impossible pour elle d’aller plus loin que les murs de sa maison, incapable de sortir dehors pour prendre l’air. Non, elle ne pouvait pas, ses parents avaient trop peur, trop peur que le fardeau qu’elle porte depuis l’âge de 7 ans ne l’anéantisse complètement. Ce fardeau, c’est cette maladie qui lui ronge le corps. Celle qui lui cause des évanouissements soudain, une baisse de tension, ainsi qu’une peur du contact humain. Cette maladie se manifestait lorsqu’un événement trop brusque se produisait, ou tout simplement à cause du hasard. Hasard qui faillit lui coûter la vie. Dans ce manoir, elle n’était pas seule, ses parents étaient là, mais également sa domestique, Akasha, qui était aussi sa meilleure amie. Elle l’aidait lors de ses évanouissements, s’occupait d’elle en permanence, et restait à son chevet jusqu’à très tard le soir. C’est alors que, en essayant de mettre des rubans dans ses cheveux pur s’occuper, elle entendit un cri venant du second salon du manoir. Yukari laissa tomber ce qu’elle faisait et courrait vers la pièce en question. Elle ouvrit la porte à la volée, et découvrit une scène terrifiante. Debout, un couteau de cuisine à la main, se tenait sa mère, et Akasha, au sol, tétanisée. Sa mère la regardait dans le blanc des yeux, et reporta son regard sur la petite domestique. Elle éleva le couteau, mais Yukari se jeta sur son amie, tel un bouclier, recevant le coup de couteau à l’épaule droite. Mais elle n’en avait que faire, elle tenait à protéger sa seule et unique amie. La blessure que lui avait infligé sa mère était profonde, c’est alors que la jeune femme, effrayée par ce qu’elle venait de faire sortit de la pièce en courant. Akasha se releva, prenant Yukari qui était évanouie, et sortit du manoir. Sa direction ? L’hôpital, l’hôpital qui était à trois heures de marche. La maison des Shûzen était tellement isolée, que même pour acheter quelque chose, cela prenait pas mal de temps. Alors, pour une jeune fille frêle, qui portait une blessée, le trajet allait sûrement être plus long. Arrivé dans le hall de l’hôpital, Akasha, épuisée et faible, faillit lâcher la petite brune. En voyant un pareil spectacle, les médecins disponibles prirent la blessée, pendant que les infirmières s’occupaient d’Akasha. La petite domestique attendit, deux, trois, quatre jour, mais son amie ne se réveillait pas. Elle commençait à vraiment s’inquiéter, et demandait sans cesse de ses nouvelles aux médecins, qui répondaient toujours « Nous devons la garder sous surveillance. ». C’est alors qu’une semaine après, Yukari était entre la vie et la mort, toujours évanouie. C’est alors que surgit sa maladie. Cet horrible mal de tête qu’elle ne supportai pas, finit par lui faire ouvrir les yeux. Oui, cette chose qui lui rongeait la moitié du corps venait de lui sauver la vie. Disposée à enfin pouvoir quitter l’hôpital, la petite aristocrate sauta dans les bras de son amie, mélangeant les excuses et remerciements, formant des phrases plus incompréhensible les unes que les autres. De retour au Manoir, alors qu’elles passèrent toutes deux la grande porte, Akasha fit prise de force par la mère de Yukari. Celle-ci, ne pouvant réagir, retourna à sa chambre, passant devant le bureau de son père, où celui-ci semblait travailler d’arrache-pied. Toute la nuit, des pleurs et des cris résonnaient dans le Manoir, mais personne ne semblait s’en soucier, sauf Yukari, qui n’arrivait pas à fermer l’œil. Tout à coup, plus un bruit, plus de pleurs, même pas un cri, rien. Tout cela était trop brusque, il s’était sûrement passé quelque chose. La jeune fille se leva tout doucement, sans un bruit, marchant sur la pointe des pieds, rejoignant la chambre d’Akasha. Elle ouvrit la porte dans un crissement qui semblait très bruyant, et là, un spectacle sordide se présentait devant la petite. Au sol, se trouvait Akasha, gisant sur le sol, entaillé par une arme blanche du bassin jusqu’au cou. Yukari eut un mouvement de recul et glissa par terre, à cause d’une lettre qui se trouvait devant la porte. Elle l’ouvrit, tremblante, et en lisant les premiers mots, ne put en supporter plus, et s’évanouit, rongé par la maladie. Quand elle se réveilla enfin, elle regarda en direction du corps inerte de son amie, qui n’avait pas bougé, et repris ses esprits. Elle se leva d’un bond et courut vers le bureau de son père, qui semblait parler à des gens. Elle saisit quelques mots de la conversation tel que « vous êtes privé », « tous vos biens », « nous revienne ». Elle a fini par comprendre qu’ils étaient à la rue. Alors que son père était parti faire des courses avec l’argent qu’il avait réussi à récolter, il tomba sur un prospectus du nom d’ « Infinite World ». Il décida de mettre toutes ses économies dans l’inscription, quitte à en mourir. Avant de partir, il offrit des petits couteaux à sa fille, en lui disant de ne les utiliser qu’en cas de besoin extrême.
Quelques jours plus tard, Yukari était arrivé à Infinite World. Elle rejoignit le clan de Libra, car elle aimait se plonger dans les livres, et aimait élaborer divers stratégies. Elle savait qu’elle ne sortirai pas d’ici avant un long moment, mais elle n’en avait que faire, elle n’avait plus rien à l’extérieur.
Dernière édition par Yukari A. Shûzen le Ven 25 Mai - 15:59, édité 3 fois |
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