L'amnésie d'un passé n'est qu'une sale part d'ombre. | Eimi E. Shinkuro.

❝ Eimi E. Shinkuro ❞

❝ I forget all things but never my enemies. ❞

❝ Identité❞

NOM : Shinkuro.
PRÉNOM(S) : Eimi ; Ewilan.
ÂGE : Quinze ans.
SEXE : ♀
CLAN : Scorpio.
NATIONALITÉ : Japon-Taïwanaise.
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle.
BATTLE : [ Oui ].
ARME : Couteau et cutter ( Et d'autres trucs qui lui tombent sous la main ).

❝ Hors RP ❞

SURNOM : Neoko.
ÂGE : Quatorze ans.
DOUBLE COMPTE ? : Oui. J'ai demandé à Blair.
AVATAR : [ Volonté de l'Abysse / Pandora Hearts. ]
COMMENT TU ES ARRIVÉ ICI : Neoko A. Shinkiseki. o/
UN MOT POUR LE FORUM : Toujours aussi super. *^*
CODE : Validé par Megan

L'amnésie d'un passé n'est qu'une sale part d'ombre. | Eimi E. Shinkuro. 1343297898061534400

❝ Physique ❞

Eimi, Eimi, Eimi ... Ma tendre Eimi. Comment le monde peut te voir ? D'abord, Eimi est une jeune fille au cas où il y aurait des aveugles présents. Elle est assez grande - 1m68 - pour son âge et a une apparence plutôt athlétique sans pour autat être musclée de partout. Elle possède aussi une peau très pâle, un teint plutôt maladif. Ses cheveux sont lisses, très longs qui tombent jusqu'au dessus de ses chevilles - c'est presque s'ils ne trainent pas par-terre - et ils sont blancs, immaculés comme la neige mais aussi parsemés de mèches bleues. Elle a aussi des mèches plutôt courtes qui encadrent son visage - c'est bien la seule partie de ses cheveux qu'elle veut bien couper - et des épis qui rebiquent un peu sur les côtés. Ils sont souvent lâchés - elle possède tout de même une tresse de chaque côté -. Son visage est plus fin, enjoué. Ses yeux sont de couleur bleue et ressemblent à deux saphirs brillants. C'est bien beau tout cela. A-t-elle aussi un style qui permet de la reconnaître ? Un style ? On peut pas vraiment définir cela avec Eimi. Elle s'habille souvent soit en blanc, soit en bleu, de manière un peu garçon manqué mais il n'est pas rare de parfois la croiser avec une robe.

❝ Caractère ❞

Eimi. Eimi, comment le monde te perçoit ? Tout d'abord, on pourrait penser que sa personnalité n'est qu'un tissu de mensonge. C'est une Tsundere. Elle peut paraître froide, hautaine, vulgaire mais en réalité, elle cherche juste à se préserver elle-même des autres, de peur de les blesser ou de se blesser. Elle peut passer son temps à flemmarder ou à dormir comme elle peut vouloir faire du sport pour se défouler. Elle rattrape souvent ses nuits en pleine journée. La jeune fille souffre en effet d'insomnie et de crises d'angoisse répétées sans doute à cause de son passé qu'elle ignore, qui la travaille. Les cauchemars sont les maîtres de son monde des songes. Mais malgré cela, la blanche n'a ps son pareil pour sembler forte et peu agréable, prête à répliquer, à envoyer des piques ou pour prouver qu'elle n'est pas "faible". Et, sans double à cause de son passé, la jeune fille peut parfois être prise par des poussés suicidaires. Comme essayer de sauter du haut d'une fenêtre sans pour autant vouloir mourir. Juste comme ça, pour le fun. Enfin, elle est suicidaire et suicidaire sans l'être. C'est vrai, il se peut que parfois, elle veuille vraiment mettre fin à ses jours mais qu'on ne la prenne pas au sérieux ou inversement, il se peut qu'elle veuille tester quelque chose et qu'on la prenne vraiment au sérieux. Ça l'agace à vrai dire. En occultant tout cela, Eimi aime bien jouer de la guitare ou encore chanter voir même dessiner. En bref, vouloir pratiquer une activité qui touche avec l' « art ». Mais bon. Ah, et comme toute personne, elle a ses points faibles : elle a une peur incontrôlable des serpents mais bon. Bonne chance pour vouloir lui en présenter ...

❝ Histoire ... ❞

Eimi. Son prénom exprime peut-être l'inverse de son histoire. Un « beau récit », mon œil, oui ! Son histoire commence en plein automne, le 3 octobre pour être exact. La dernière d'une famille de plusieurs enfants - sept en l'incluant - mais aussi la plus détestée par tous. À l’exception de sa mère. Ah, sa mère. Toujours douce, toujours gentille avec sa petite dernière. Eimi n'avait que ça pour se remonter le moral. En effet, à l'inverse de ses frères et sœurs, elle avait des cheveux blancs. De longs cheveux blancs. Eux, avait tous des cheveux bruns. Et si elle avait des saphirs en guise d'yeux, ils avait tous des noisettes pour leur part. Le seul point commun qu'elle partageait avec eux était leurs mèches bleues qu'ils tenaient de leur mère. Oh oui, Eimi était vraiment le portrait craché de sa mère - les mêmes yeux, les mêmes cheveux ... - si bien que son propre père en venait à douter de son lien de sang avec sa fille, lui prouvant à de nombreuses reprises : elle était celle qui avait le plus de travail, celle qui était la moins gâtée, celle qui était la plus délaissée. Tout ce qu'il lui restait était vraiment sa mère, sa tendre mère. Mais parfois, même cette lumière ne lui suffisait pas. Un jour, Eimi en eut marre, elle saisit une paire de ciseaux et voulut se couper ses cheveux, ses cheveux qui faisaient son malheur. Sa mère l'en empêcha d'un geste calme.

「Fais-moi une promesse Eimi. Promets-moi de toujours être fière de toi, quoi que tu fasses, de ne pas craquer. Promets-le-moi. 」

Eimi le promit. Sa mère lui offrit une boîte à musique et, l'année suivante, alors de sa dernière venait d'avoir six ans, fut emportée par la mort. La blanche crisa alors et s'enfuit le jour même de chez elle, son cadeau serrait contre elle. Elle fit une terrible chute et ne se réveilla que quelque jours plus tard, dans un lit parfumé. Une vieille dame vint à son réveil et lui demanda d'où elle venait. Eimi, devenue amnésique sans doute à cause de sa crise et de sa chute, ne se souvenait que de son identité, de sa mère et de cette curieuse promesse. La vieille dame adopta Eimi en tant que fille unique. Parfois, la blanche avait des réactions quelque peu bizarres. Dès qu'on s'approchait d'elle avec un ciseau pour lui couper ses cheveux, elle se mettait à hurler et s'enfuyait, refusant systématiquement qu'on les coupe, n'autorisant que sa mère adoptive à lui couper parfois sa frange et ses épis. Quelques années plus tard, à la mort de celle-ci, Eimi, terrassée de chagrin de la mort de celle qui l'avait recueilli et élevé, se mit à errer, toujours en serrant cette boîte à musique.

「Veux-tu faire partie de la Battle ? 」

Eimi ouvrit la boîte à musique. À l'intérieur, la photo d'elle et de sa mère y figurait. Un sentiment de vengeance s'éleva. Les seules personnes qui l'avaient vraiment aimé, étaient parties à jamais. Alors elle accepta. Oui. Maintenant, mourir, c'était presque une délivrance.