Pensez à voter toutes les 2 heures !



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Partagez
 

 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Nobody L. Phantom














Messages : 468

Dossier élève
Mon guide:: /
Mon arme:: /
Chambre: 11
Nobody L. Phantom



« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Empty
MessageSujet: « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-   « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- EmptyLun 24 Sep - 18:10



« I want to be the main character
in this Happy Ending. »





tell me the truth

La vie de Nobody se résume en trois mots :
Dormir - Café - Arthur

Nobody est décontractée, on peut le dire, alcoolique renommée, elle est connue de nombreux pour sortir du lycée le soir et revenir à une heure pas possible en tanguant et en gueulant sur tout ce qui viendrait lui briser sa ligne droite imaginaire, ouvrant la chambre du premier venu pour s’y vautrer, homme, femme, personnel, directeur, peut importe, de toute façon, elle est incapable de s’en rendre compte, ce qui, par la même occasion, réveille la moitié du pensionnat. N’ayant presque aucune compétence en français, elle se contente juste de le parler couramment, et la première fois qu’elle l’a avoué à ses élèves, ils savaient déjà qu’ils étaient tous mal barrés pour cette année, envoyant alors les têtes d’ampoule chez sa collègue. Non, Nobody c’est plus une alcoolique droguée, arrivant en retard à ses cours à moitié endormie, déposant une bière sur la table, poussant tous ses dossiers avant de s’endormir toute la journée, ne loupant tout de même pas ses pauses clopes qui, d’après la blonde, sont et resteront sacrées à jamais. Son style vestimentaire est aussi assez spécial, du moins, la professeur de français n’a aucune limite, excluant le mot « pudique » de son vocabulaire, certains le trouveront vulgaires, d’autres en profiteront. Il n’est pas rare de la voir se promener à moitié nue, qu’elle soit simplement en bas de pyjama une tasse de café à la main, avec sa chemise ouverte, ses tenues correctes étant beaucoup plus rares que ses tenues dépravées, bien que lorsqu’elle veut, et uniquement dans ces cas là, surtout lorsqu’elle sort, elle profite de son statut d’ancienne bourgeoise, n’hésitant pas à porter quelques robes coûtant bonbon. Le mot « pudique » n’a de toute façon jamais existé dans sa tête, vu qu’il n’est pas rare de la trouver nue dans les douches, endroit où elle passe la moitié de sa matinée, soit pour enlever l’odeur de l’alcool ou simplement pour l’hygiène, mais beaucoup savent qu’elle y squatte simplement pour pouvoir fumer des joins tranquillement. Bon, il ne faut pas oublier non plus que la machine à café ... c'est l'invention de Dieu, squattant la pauvre distributrice de cette délicieuse boisson écroulé par terre, effrayant les plus jeunes et blasant les plus vieux, à se demander de toute façon combien de litre elle ingurgite en une seule journée ... les paris sont lancés !

Alcoolique • Dépravée • Nymphomane • Squatteuse • Longue à la détente • Aucune connaissance en sciences, bien que le niveau ne soit pas élevé en langues non plus • Trop souvent saoule • Flemmarde • Endormie • S’approprie « sa » machine à café • Ne supporte pas les gosses de riches, les snobant pour s’occuper des plus démunies • Affectueuse • Trop affectueuse même • Gueularde • N’aime pas parler d’elle • Montre rarement un côté Maternelle • Se trompe souvent de lit une fois saoule • passe ses soirées dans les bars • Se vautre les trois quart du temps • Arrive une demi-heure de retard à ses cours • Dépouille les frères Oswlad de toutes leurs craies • Fume souvent des joints dans les toilettes ou encore les cages d'escaliers • Arrivée depuis plus de sept ans à Infinite World • Pourtant elle n’a pas plus d’attache que ça avec le personnel • A quelques connaissances des arts martiaux grâce à Holic, mais elle est tellement flemmarde qu'elle a tout oublier • Squatte Arthur à longueur de journée • Sort souvent fringuée n'importe comment, dès fois avec la chemise du professeur d'allemand, à ce demander comment elle peut se fringuer comme ça

32 ans ϟ professeur de français ϟ bisexuelle ϟ américaine ϟ anciennement nommée hurricaine lilith phantom ϟ célibataire










Dernière édition par Nobody L. Phantom le Ven 15 Mar - 23:26, édité 12 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nobody L. Phantom














Messages : 468

Dossier élève
Mon guide:: /
Mon arme:: /
Chambre: 11
Nobody L. Phantom



« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Empty
MessageSujet: Re: « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-   « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- EmptyLun 24 Sep - 18:10



« I want to be the main character
in this Happy Ending. »





ses recherches
- Amant ϟ Quelqu’un pouvant l’accompagner dans ses délires, bien que sérieux et affectif. Homme • Zodiac • Taken
- Coup d’un Soir ϟ Quelqu’un avec qui Nobody squatte tous les soirs dans les bars, la squattant quelques fois même dans le pensionnat en lui-même, deux attardés mentaux. Homme ou Femme • Qu’importe le groupe • Free
- Fraternité ϟ Quelqu’un là pour elle, quelqu’un qui la comprend, quelqu’un qui la supporte, c’est un peu comme un couple, mais sans les câlins. Homme • Zodiac • Free
- Dictateur ϟ Quelqu’un qui lui prends le chou, essayant de la faire bosser un maximum lors de ses cours, restant même pendant ses derniers pour la surveiller. Quelqu’un de relou pour la jeune femme. Homme ou Femme • Zodiac • Free
- Amis ϟ Pause clope, connaissance amicale ou affection particulière, la professeur aime normalement tout le monde, oui, c’est le genre de personne peace and love qui préfère aimer que détester les gens. Homme ou Femme • Qu’importe le groupe • Free
- Ennemis ϟ Ils y a des gens où ça coince, ou ça passe pas, et Nobody ne peut pas les supporter, allez savoir pourquoi. Homme ou Femme • Qu’importe le groupe • Free


arthur f. oswlad ϟ amant caché

« Dis, t’as des craies ? »
Cette question est sacrée chez le duo, on ne dirait pas ... mais elle veut tout dire. Bien que comme ça, la blonde semble être détestait du blanc, elle ne peut s’empêcher de venir l’embêter durant ses cours, de le supplier de l’accompagner dans les magasins, enfin voilà, Arthur c’est tout, c’est un peu le frère qu’elle aurait adoré avoir, enfin, au début. Dès son premier jour ici, elle lui en avait fait voir des belles et des pas mûres à devoir la ramener à bout de bras au pensionnat en tenant un parapluie menaçant de s’envoler de l’autre. Elle aime son côté froid et strict qu’elle s’amuse à briser avec de simples phrases, cassant la vigilance de l’allemand qui se retrouve bien trop souvent désemparer. C’est vraiment quelqu’un à part pour elle, qui accepterai de louper une journée de cours entière pour accompagner une nymphomane alcoolique dans les boutiques ? Ou de jouer avec elle toute une journée à une partie de carte ? Arthur c'est son "homme" comme elle le dit si bien, sa propriété privée, dès qu'elle l'a vu le soir où on l'a envoyé la cherchait, elle savait qu'il n'était pas comme les autres, elle ne l'a jamais lâché, le suivant comme son ombre. Oui elle l'aime, et même si leur relation est cachée aux yeux des autres, certains, dont Holic et Gerald, ont étaient mis au courant d'une manière inconnue. Pourtant, elle aime bien le crier sur tous les toits ... quelle butera sans hésité la première qui j’approcherai trop près de son Arthur.


holic s. anderson ϟ commère

Cette femme, c’est l’une des seules qui la comprends, une nymphomane et une gardienne de prison fourrées ensemble, que demander de pire ? Elles font la paire, deux véritables commères semblables à deux jeunes en crise d’adolescence qu’à deux professeurs. Compagnes de buverie, elles rentrent souvent défoncés de bars, foutant un bordel monstre dans le hall, Nobody se vautrant par terre en emportant la rouge avec elle. Mais Holic est bien la seule à la squatter autant, prenant la relève de sa tendre Alice pour partir la chercher dans les bars lorsqu’elle est trop bourrée. Puis Holic, c’est comme une sœur, c’est celle qui l’un a appris à les arts martiaux où elle excelle, elle n’était pas une ancienne gardienne de prison pour rien.

alice h. heartless ϟ amie d'enfance

PNJ ϟ Alice, c’est son amie d’enfance, celle qu’elle a croisée lors d’une de ses sorties illégales, se liant rapidement d’amitié. Alice, c’est celle qui est venue la chercher dans ses bars pour la ramener chez elle. C’est celle qui l’a hébergé chez elle. C’est celle qui a toujours était à ses côtés. Alice, c’est Homeless, Alice c’est sa moitié. Pourtant elle est partie à l’autre bout du monde en la laissant seule, au début, elle avait de ses nouvelles pendant sa première année à Infinite World, pourtant, un accident de la route vint tout chambouler, transformant l’ébène en un simple légume sans intérêt d’après ce que son petit ami lui a appris. Depuis, elle n’a jamais eu de nouvelles d’elle.

renji hide ϟ relation

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

alenaë l. aldarión ϟ ...

Alenäe, elle est mignonne, certes, elle est froide et solitaire, mais au fond, elle a sûrement un bon fond, du moins d’après la blonde, la plus jeune n’a pas l’air de l’aimer, voir de la détester, contrairement à la plus vielle qui, après une simple heure de sêche, à finit par l’apprécier. Elle a enfin trouvé quelqu’un à stalker quand elle n’aurait rien à faire. Puis au fond, elle tire la gueule tout le temps, et les gens comme ça, elle à l’habitude d’en côtoyer, alors pourquoi n’arriverait-elle pas à dompter cette gamine ?

alexander b. calderon ϟ collègue

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

lewiss c. austen ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

satsuki tsuya ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

abigaëlle c. taylor ϟ collègue

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

takeshi shimizu ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

gerald f. oswald ϟ petit frère, amitié

Gerald, c’est mini Arthur en version peace and love et grand sourire, contrairement à son jumeau qui tire la gueule les trois quart du temps et qui est à cheval sur les règles, lui c’est le contraire, toujours un sourire aux lèvres tel un gamin, un compagnon de jeu pour la blonde qui n’hésite pas à le martyriser un peu quand l’envie lui prends, et bien qu’il s’amuse à la remballer la plupart du temps, elle ne peut que lui pardonner, parce qu’on ne peut pas bouder un mini Arthur sociable et parce qu’elle le considère comme un petit frère.

akane yukikawa ϟ reflet

Akane, elle arrache juste d’sa grand-mère qui tue tout. Un reflet, comme si une Nobody ne suffisait pas, en voilà une deuxième. La blonde n’hésite pas à se confier à elle sur tout et n’importe quoi, puis de toute façon, elles sont pareilles, elles passent leur vie à pioncer. Elle l’a prend un peu comme une sœur, puis ses cheveux rouges, elle lui fait penser à sa gardienne de prison favorite. Et bien que la rouge aime la vue du sang, contrairement à la blonde, elle l’adore, elle à peut être juste peur qu’elle ne s’approche trop près de son professeur d’allemand ...

issei loan ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

mina ozara ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

jin ho k. ishikawa ϟ tellement étrange ...

Allez savoir pourquoi, sa présence est pesante pour la blonde, elle ne l’aime pas, mais elle ne le hais pas non plus, elle reste neutre avec lui, bien qu’elle réponde sèchement à ses paroles, elle cache son dégoût envers l’homme sous des sourires et des rires alors qu’elle préférerait lui crachait dessus. Comment peut-il être pour la Battle ? Pourrir la vie de gamins innocents ? Il est tout son contraire, elle qui, malgré son caractère assez immature d’apparence, essaye de les aider.

Dieu, pourquoi l’envoie t-on souvent le voir ?


... ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

... ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

.... ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

... ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.

... ϟ ...

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.








Dernière édition par Nobody L. Phantom le Dim 2 Déc - 14:33, édité 27 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nobody L. Phantom














Messages : 468

Dossier élève
Mon guide:: /
Mon arme:: /
Chambre: 11
Nobody L. Phantom



« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Empty
MessageSujet: Re: « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-   « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- EmptyLun 24 Sep - 18:10



« I want to be the main character
in this Happy Ending. »





rp en cours
www. Shall We Dance? ϟ feat. Mayumi Sûpu

www. This is the Part of Me ϟ feat. Takeshi Shimizu

www. Sans Titre ϟ feat. Renji Hide • (Réservé)

www. Sans Titre ϟ feat. Issei Loan • (Réservé)

rp terminés
www. Séchons, séchons ... ϟ feat. Alenaë L. Aldarión

www. ... ϟ feat. ...

www. ... ϟ feat. ...

www. ... ϟ feat. ...

www. ... ϟ feat. ...

« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 649017icon1 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 836015icon2 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 407624icon3 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 815285icon4 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 457549icon5 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 721056icon6 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 520173icon7 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- 554148icon8 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari8 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari11 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari9 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari10 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari14 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari15 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari17 « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Yukari7







Dernière édition par Nobody L. Phantom le Dim 2 Déc - 14:33, édité 7 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nobody L. Phantom














Messages : 468

Dossier élève
Mon guide:: /
Mon arme:: /
Chambre: 11
Nobody L. Phantom



« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Empty
MessageSujet: Re: « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-   « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- EmptyLun 24 Sep - 18:10



« I want to be the main character
in this Happy Ending. »








POV NOBODY / HURRICANE
(correction des fautes à venir)
« Alice, je pars pour le Japon. »

Je lui avais annoncé la nouvelle comme ça, un sourire aux lèvres en tenant mon chapeau d'une main pour éviter qu’il ne s’envole. Elle me fixait, un air ébahi au visage, nous marchions tranquillement depuis un petit moment, je l’avais inviter à boire un verre sous cette chaleur d’été, et j’en avais profité pour lui annoncer la nouvelle.

« Huri-chan, pourquoi tu veux aller au Japon ?
- J’ai trouvé un travail là bas, on m’a donné rendez-vous en fin de semaine.
- Un travail ? Mais tu en as plein ici Huri-chan !
- C’est un travail particulier.
- Particulier ? Mais en quoi c’est particulier ? Si tu vas au Japon je vais devenir quoi moi ? Je peux rien faire sans Huri-chan moi !
- On m’a embauché comme professeur de français dans un pensionnat assez particulier, donc ...
- Professeur ? Mais tu as toujours été nulle en ce qui concerne l’éducation Huri-cha ...
- Alice écoute, ne me rends pas la tâche encore plus difficile, c’est compliqué pour moi de partir. »

Elle s’était tue, baissant la tête avant de partir en courant, me laissant en plan au milieu de la rue. Je soupirais, elle était impossible, nous avions toutes les deux vingt-cinq ans et elle agissait encore comme une gamine, pleurant dès qu’une chose ne lui plaisait pas, elle qui était si garçon manqué à l’époque, qui tapait ceux qui la gênée, hurlant et crachant des injures à ceux qui voulaient les entendre, elle a vraiment ramollie avec le temps, soit à cause de son petit ami, soit à cause de moi, dès fois, j’en viens à me demander si notre rencontre était une bonne chose, c’est vrai que sans elle, je serais encore enfermer dans ce manoir, sûrement mariée à une tapette, ou je serais peut être sur les trottoirs pour gagner ma vie, bon, c’est presque le cas actuellement, je vivais sous les toits dans une pièce pourrie, humide et mal isolée, mais aucun loyer à payer, juste ma connexion internet qui marchait une fois sur deux, quelques fringues et de quoi manger, la plupart de mes économies passaient dans l’alcool, les cigarettes, la drogue en général même, tout y passer, les factures passaient mal, ils arrivaient même à me couper l’eau quand j’avais trop de retard ... Quesque j’y pouvais si je gagnais trois franc six sous tous les soirs ? Je n’allais pas non plus fouiller dans les portes monnaies des hommes, ils me payaient s’ils le voulaient, certains me jetaient dehors, mais d’autres étaient prêts à me loger plus longtemps, chose que je refusais à chaque fois. Et puis, qui voudrait de la « prostituée » du coin comme employée ? Au non, Dieu sait que personne ne risquerait de prendre une femme qui a chié sa vie.

Je m’assis à une terrasse, posant mon coude sur la table pour reposer ma tête contre ma paume, souriant légèrement au serveur venu prendre ma commande, un simple jus de fruit prit par obligation, j’étais fauchée ce mois ci, mon futur patron m’avait envoyer de quoi payer le billet d’avion, trois jours, c’était ce qu’il m’avait laissé comme délai pour préparer mes affaires, sauter dans l’avion et de venir le rencontrer, j’étais terrifiée, certes, on m’avait enseigné le japonais durant mon enfance de bourge, mais j’allais me retrouver seule, je ne connaîtrais personne, je serais seule et le téléphone ne me satisfera sûrement pas, j’ai toujours vécu avec Alice, je lui en ai fait voir de toutes les couleurs, ne plus la voir du jour au lendemain serait sûrement insupportable, elle chouinerai sûrement comme une enfant à l’autre bout du combinait en me suppliant de revenir, es-ce que je tiendrais le coup ? En ce moment, je ne peux rien dire, prédire ou promettre quelque chose, je verrais bien sur place ce qui m’attend.

Je lâchais un soupir, j’avais pas grand-chose à faire, Alice boudait, j’avais trois-quatre affaires à préparer et mon propriétaire à remercier pour m’avoir donner cette pièce, certes pourri, mais qui m’a servit durant mes longues années de merde, il m’appelait souvent pour prendre de mes nouvelles, ou pour s’excuser de ne pouvoir me donner mieux sans me demander un loyer mensuel, il savait que j’étais dans l’incapacité de payer, dans trois jours, j’allais dormir ailleurs, j’allais laisser ce trou paumé, un trou avec une fenêtre fêlée, ne retenant rien, sans chauffage, sans isolation, humide, moisi, même un rat ne voudrait pas finir dans un endroit pareil, mais au fond, je m’y étais habitué, à me chauffer au poêle qu’il m’avait donné, les gens s’inquiétaient pour ma santé, s’était adorable, même Alice hurlait et faisait le ménage de fond en comble dès qu’elle venait chez moi, refusant de me voir finir dans un capharnaüm pareil, c’était comique de la voir si sérieuse dans une tâche comme celle-ci, mais me faire sermonner à cause des bouteilles vides, des cigarettes ou autres piqûres traîner sur le sol n’était pas charmant, l’entendre hurler et râler devenait vite fatiguant, surtout qu’elle a toujours était hyperactive et saute partout à longueur de journée.

J’ai du traîner une petite heure dans la ville, rentrant chez moi au beau milieu de l’après midi, me jetant sur mon lit, posant un regard sur cette chose sensé me servir de plafond et qui, à chaque petit coup de vent, faisait mine de s’effondrer en m’empêchant de dormir, ou faisant paniqué Alice qui venait une fois sur deux me chercher pour dormir chez elle, son mec devait péter un câble à force, pourtant il m’accueillait toujours chaleureusement chez lui, j’ai toujours pris ça pour de la pitié à mon égard, comme si pour lui, je n’étais même pas capable de m’occuper de moi toute seule, pitoyable, ce n’était qu’une facette qu’il montrait pour faire bonne impression, il devait me cracher dessus dans mon dos, rien que d’y penser, ça me dégoûte qu’elle se soit trouvée une merde pareille, bien que je ne sois pas la meilleure placée pour parler de ça.

Nouveau soupir, je me levais finalement, jetant une valise par terre pour y placer quelques affaires, mais surtout les quelques robes de valeur que je n’avais jamais pu vendre avec le temps, bien que ce soit mon père qui me les a achetés, je ne pouvais me résoudre à les jeter, même moi je ne savais pas pourquoi, peut être parce qu’elles me rappelaient mon passé, ou peut être simplement parce qu’au fond, j’avais toujours ce bout de ce caractère de peste narcissique. Je les pliais correctement, les rangeant dans ma valise avant d’y ajouter quelques affaires ou objets auquel je tenais, surtout mon ordinateur portable qui ne me quittait que très rarement et auquel je tenais énormément. Le reste passa aux déchets, je savais que je ne pouvais pas emmener tout ce que j’aurais voulu prendre, juste le strict minimum. J’allais commencer une nouvelle vie, alors autant repartir sur de bonnes bases.


Dans trois jours, je devais quitter mon pays natal.

Je savais que je n’y retournerais sûrement jamais, et elle le savait surement aussi, pourtant, Alice ne répondit aucun de mes appels et était absente à chacun de mes passages, ce qu’elle pouvait être gamine à des moments, pourtant, je lui pardonnais, j’aurais peut être réagit pareil si les situations étaient inversées, mais j’aurais tout de même bien voulu avoir de ses nouvelles et lui dire au revoir avant de partir, enfin, elle n’était apparemment pas décidé. Mon propriétaire fut donc ma deuxième destination, il m’accueillit chez lui avec un grand sourire, il n’est pas tellement vieux, une trentaine d’années, arrivant lui aussi de loin, et il comprenait la merde dans laquelle j’étais, et il s’occupait même de moi comme un grand frère quand il en avait l’occasion, il vivait seul avec le strict minimum, faute de moyen, pourtant, il faisait plus attention aux autres qu’à lui, contrairement aux autres hommes que j’ai pu rencontrer jusque là, cette fois ci, j’étais tombée sur un bon gaillard.

« Je m’en vais. »

Il a tiré la même tête d’Alice, je lui souris tendrement, lui expliquant le pourquoi du comment, et à la fin de ma tirade, il se leva d’un bond, les bras en l’air tel un enfant.

« Mais Hurricane, c’est génial ! Enfin, pour toi, tu vas arrêter de vivre dans cette chambre pourrie que je t’ai filé, tu vas pouvoir manger à ta guise, avoir un salaire, et puis tu pourras reprendre de nouvelles bases, te faire des amis sur qui compter. Il s’était tus. Au début, ça va faire bizarre de voir cette pièce vide, mais c’est mieux pour toi, et puis si jamais tu veux revenir ici, tu peux compter sur moi, je t’offrirais mieux, je te le promets.
- C’est vraiment gentil de ta part. »

Il m’hébergea les deux derniers jours qui me restaient en Amérique, il me força à rester la soirée avec lui pour discuter, boire, rire, manger, j’essayais une nouvelle fois d’appeler Alice, rien, je lui laissais encore un message lui demandant de me rappeler, et ce, à plusieurs reprises depuis ce matin, mais aucun appel, aucun message, comme si elle avait disparu de la surface de la Terre.

Durant la veille, ce fut la même chose, appel sur appel, message sur message, visite sur visite, mon propriétaire qui, contrairement à moi, conduisant, m’avait traîné dans tous les endroits qu’Alice connaissait et fréquentait, rien, toujours aucun signe de vie de l’ébène, je finis par lâcher les bras, passant une nouvelle et dernière soirée en compagnie de mon ami, sans pour autant enlever l’image de cette gamine dans ma tête.

Le jour J était finalement arrivée, il m’emmena à l’aéroport à l’heure indiquée, il ne dit pas un mot durant le trajet, respectant mon visage et mon regard vide sur le paysage, l’aéroport se trouvait à deux heures de son domicile, en cours de toute, je sortis mon portable, commençant à tapoter un texto sans grande passion, reposant ma tête sur la paume de ma main.



« Alice, c’est Huri, j’espère que tu finiras par recevoir ce message, depuis la nouvelle, impossible de te joindre, j’aimerais bien te revoir avant de partir, je ne suis pas sûre de revenir en Amérique, et te quitter sous la colère ne me plaît absolument pas, mon vol décolle à dix-sept heures si jamais tu veux me dire au revoir.

J’espère te voir à l’aéroport, je suis actuellement en route, gros bisous, je t’aime.
»

Je serais les dents, essuyant une larme menaçant de couler. Et si elle ne venait pas ? Si elle refusait de me voir ? Au fond, j’espérais encore, elle a toujours été là pour moi, alors pourquoi pas cette fois ? Elle doit venir, elle le doit ...

« Hurricane, tu as peur que ton amie ne vienne pas ?
- Elle est partie en courant quand je lui ai annoncé la nouvelle, depuis je n’ai aucune nouvelles.
- Ne t’en fais pas, vous vous connaissez depuis longtemps, elle va venir, j’en suis sûr.
- Je l’espère. »
Il sourit, je lui rendis légèrement, je devais continuer à espérer ? C’était bien facile à dire, finalement, je craquais, laissant les larmes coulées, je me couvrais le visage de mes mains, cachant mes larmes, il soupira, essayant de me réconforter, certes de manière maladroite, mais il cherchait ses mots, me faisant légèrement sourire et sécher mes larmes, puis finalement, j’ai du m’endormir au bout d’une demi-heure, voir quarante-cinq minutes de route, nous étions partis tôt ce matin pour éviter un retard et pour partir calmement, sans stress, je n’est jamais été du matin, et me lever à cinq heures à moitié endormie m’avait, comment dire, assez secouée, de toute façon, il m’avait presque ordonné de me reposer pour arriver en pleine forme là bas. Ce garçon était juste trop bon, pourtant, il n’avait encore jamais trouvé l’âme sœur, c’était fou, pourtant, il valait mieux qu’il reste seule que tomber sur une de garces qui lui volerait le peu d’argent qu’il arrivait à récolter, du moins, c’était ce qu’il pensait et ce que j’avais surenchéris.

Le reste du trajet ? Je devais somnoler à certains moments, la fin était assez vague, je me souviens juste d’être fait tirée de mon siège, me secouant légèrement pour me pointer l’aéroport du doigt.

« On est arrivés, Hurricane. Qu’il m’avait dit en souriant. »

C’est en râlant qu’il me traîna à l’intérieur, à moitié endormie en me frottant les yeux, une fois la porte principale passée, je me suis stoppée net, fixant le bâtiment dans lequel j’étais entrée, je n’avais jamais quitté mon manoir, je n’avais jamais quittée ma ville, c’était la première fois que je mettais les pieds dans un endroit aussi grand, intimidée, je me suis rapprochée de mon ami, m’accrochant à la manche de sa chemise en posant un regard sur chacune des personnes me passant à côté, puis plus haut, fixant les gens montant à l’escalator, alors que j’avais perdu tout espoir de revoir ma petite ébène, une touffe noire me passa à côté, me bousculant légèrement en courant sans s’excuser, traînant mon pauvre aîné dans ma course.

« Alice ? Hurlais-je en me retournant. »

La touffe noire se retourna, ses yeux bleus, il n’y avait plus aucun doute, c’était bien elle, sa bouille, ses cheveux ébouriffés, ses prunelles océans, il n’y en avait pas cinquante mille des gamines comme ça. Les larmes coulèrent de nouveau, de joie cette fois, sautant au cou de la plus petite à l’en étouffer.

« Putain, espèce de tarée, t’as plus intérêt à me faire ça, depuis deux jours j’essaie de t’appeler pour avoir de tes nouvelles.
- Je suis désolé. Je n’arrivais pas à me mettre dans la tête que tu allais vraiment partir, je me suis dis qu’au fond, tu allais rester et ...
- C’est moi qui suis désolé, Alice. »

Mon ami s’approcha de nous, saluant l’ébène d’un geste de la main, alors qu’elle le fixait d’un air étrange, je ne pus m’empêcher de rire.

« Alice, voici Faust, c’est mon propriétaire, enfin, il loue plusieurs appartements, et il m’a filé cette pièce qu’il n’avait jamais réussi à louer, avec le temps, on est rapidement devenu amis.
- Et toi, tu es Alice, n’est ce pas ? Hurricane n’a pas arrêté de me parler de toi depuis deux jours. Enchanté de te connaître.
- De même. Répondit-elle en rougissant légèrement. »

Je pris les devants, attrapant chacun des deux par un bras pour les traîner vers le banc le plus proche, éloigné de la foule. Un silence avait élu résidence entre nous trois, Alice rougissait en baissant la tête, Faust avait le nez rivé sur son portable, et moi ... bonne question, je souriais sûrement comme une idiote en balançant les jambes dans le vide, mais j’étais heureuse, tout simplement, j’avais fini par la revoir, ma petite ébène.
« Huri-chan, j’aurais du te répondre plus tôt, excuse moi ...
- Arrêtes de te morfondre pour ça Alice, t’es venue, c’est le principal, je me fiche du reste.
- Mais, je t’ai inquiété pour rien, et ...
- Et quoi ? Finalement t’es ici, on peut se voir et on peut parler, donc autant sourire, j’aurais réagis comme toi si tu devais partir ...
- Mais ... mais moi ... je peux rien faire sans toi ... »

Je lâchais un soupir, lui ébouriffant sa touffe de cheveux en affichant une mine blasée, elle était insupportable quand elle s’y mettait, je ne savais pas comment lui dire, ce n’est pas faute d’avoir essayé. Faust nous regarder d’un air attendrit, lui aussi qu’il pouvait être lourd avec ses sourires.

Le reste de la journée se passa sans grands soucis, nous avons juste perdu Alice en cours de route pour la retrouver une heure après, les larmes aux yeux recroquevillée dans un coin, puis finalement, après avoir discuter, l’heure arriva enfin.

Dix-Sept heures, mon vol allait partir, embrassant mon ébène qui refusait de me lâcher en pleurant toutes les larmes qu’elle pouvait, et Faust qui se contenta de m’ébouriffer amicalement les cheveux en souriant, cachant sa tristesse maladroitement.

« Ça fait bizarre Hurricane, dem ...
- Nobody.
- Pardon ?
- Je préfère Nobody à Hurricane.
- Euh ... d’accord.
- Tu disais ?
- Demain ça fera vide sans toi, sans ta bonne humeur et ton caractère de cochon. »

Je répondis à son sourire bêtement, lâchant Alice avant de partir vers mon vol en me mordant la lèvre inférieure, quelle bande d’abrutis, s’ils savaient que plus ils chialaient, plus s’était dur pour moi de partir, ils se retiendraient, j’en suis sûre ... quoique peut être pas.

Une fois montée à bord, et être passée pour une véritable touriste, lançant un bref regard à la fenêtre, je soupirais de nouveau, fourra une paire d’écouteurs dans les oreilles en fermant les yeux.





(correction des fautes à venir)

Arrivée, Dieu, il fait nuit, il fait froid, c’est la merde totale, et j’ai même pas la bonne heure, de toute façon j’arrive même pas à la lire sur ma montre tellement je dors debout. C’est décidé, c’est peut être la première fois, mais je ne reprendrais plus jamais l’avion, quitte à rentrer en Amérique à pied, je m’en fiche, jamais je reprendrais cette chose. M’écroulant contre un mur, je râlais bruyamment avant de poser un regard sur mon environnement, j’étais en plein cœur de Tokyo, j’avais déjà fais une demi-heure de taxi avant de tracer dans les rues déjà bondées de la ville. J’ai fini par arrêter quelqu’un, lui demandant l’heure de la meilleure manière possible ... Six heures du matin ? J’avais du mal entendre, mais après lui avoir fait repérer et l’avoir remercié, je continuais ma route en tirant la gueule, sortant une carte qu’il m’avait envoyé par mail et que j’avais préalablement imprimée, bien qu’à l’autre bout du combiné, il semblait complément malade, il avait pensé à tout, ou alors il savait que j’étais une véritable blonde, ou peut être les deux.

Ma carte devant les yeux, je marchais en regardant attentivement autour de moi, dix minutes, une demi-heure, une heure ... rien, jetant mon papier en boule dans la première poubelle en jurant, aucun lycée en vue, mais quesque j’y pouvais ? Il était transparent ou protéger par un champ de force où quoi ? Je suis pas non plus aveugle à ce point !

Finalement, je pris la solution qui était sûrement la plus simple dès le début : l’appeler directement au téléphone. Me fourrant dans un coin, mes papiers étalés partout, je jurais à chaque sonnerie jusqu’au moment où une voix se mit à chantonner à l’autre bout du fil.

« Oui ?
- Ouais Bonjour.
- Je vous connais ?
- Je suis Nobody Phantom, la professeur de français à qui vous avez donnez rendez-vous aujourd’hui.
- Oh oui je m’en souviens, le voyage s’est bien passé ? Vous allez bien ?
- On peut dire ça ... mais ... enfaîte j’ai un petit souci technique.
- Lequel ?
- Je suis complètement paumée, je cherche depuis que je suis arrivée, rien, vous pouvez pas m’aider à trouver par téléphone ? »

Ce mec était fou, enfin, heureusement il avait tout de même accepté de me guider pas à pas vers l’établissement, ouais, enfaîte c’était sûrement pas la bonne carte que j’avais imprimée, je suis vraiment une conne, arrivant dans un trou paumé, c’est après une heure de route et de retenue par ce fou furieux qui avait fini par me tutoyer au bout de dix minutes, ils sont fous ces japonais, un truc de dingue.

« Bon merci beaucoup Monsieur, je suis juste devant, je vous laisse, à toute de suite.
- Oui à tout de suite Nobody, gros bisous bisous ! »

Il faisait peur, je devais peut être faire demi-tour, quitte à reprendre l’avion, c’est peut être mieux, bon, je suis peut être pas tellement dépaysée, mais pas loin.

Enfin, j’étais arrivée, postée devant les énormes grilles du pensionnat, je fixais le bâtiment d’un air effrayé, j’allais vraiment travailler ici ? Même moi j’avais du mal à y croire, lâchant un soupir d’exaspération, je poussais les deux grilles entrant dans l’enceinte de cet endroit, au fond de moi, j’avais un mauvais pressentiment, cet endroit n’était pas normal et je le savais, ça puait, j’aurais peut être du faire demi-tour, qui à rester sur les trottoirs des quartiers pourris. J’avançais tranquillement, poussant cette fois la porte du hall principal en regardant à droite à gauche par simple précaution, le directeur a peut être déteint sur le personnel et les étudiants, Prudence est mère de sûreté comme on dit, où encore qu’on été jamais trop prudent, c’est donc au ralenti que je me mis à la recherche du bureau de ce malade mental. D’ailleurs, c’est quoi le numéro de la gendarmerie ici ? Ou de l’asile ? Il serait capable de m’enfermer dans son bureau, de me menacer, de me violer, de me tuer, de se servir de moi comme d’un otage, non, je suis en manque, j’ai pas bu une seule goutte d’alcool ou même fumer un join ou même une simple cigarette depuis des lustres. Faut que je fasse le chemin retour, que j’aille dehors, que je me m’assois quelque part et que je sniffe quelque chose, n’importe quoi, même du sable, mais vite sinon je vais tuer la première personne que je trouve.

Dieu ... Dieu a quelque chose contre moi, alors que je m’apprêtais à prendre le sens inverse, je suis tombée dessus, obligé, sur ce malade de propriétaire des lieux courir vers moi en agitant le bras, m’attrapant comme une merde avant de me jeter dans son bureau et de fermer la porte derrière lui, déballant des phrases du genre « Je suis content de te voir ! », des « Les enfants en avaient marre de ne pas avoir français ! » ou encore des « Une professeur aussi mignonne que toi, ils vont être contents. ». Enfin, je pense qu’il disait ça, je n’écoutais que la moitié, avachie sur le bureau, le front contre le bois en me tenant la tête, levant la main au bout d’un moment pour le faire stopper.

« Écoutez, merci beaucoup Monsieur pour votre accueil, mais voyez vous, je suis ... comment dire ... alcoolique et droguée depuis maintenant plus de quatre ans, je vous le dis tout de suite, mais si vous m’acceptez ou non, par pitié laissez moi fumer je vais crever sinon, j’vous jure ... »

Un blanc s’installa, il fini par éclaté de rire devant mon air de chien battu, ce mec était définitivement fou.

« Tu restes ici que tu le veuilles ou non. Et je vois pas pourquoi tu demandes, fumes un join, sort une bière, je vais pas t’interdire. »

J’étais peut être tombée au paradis enfaîte, bon déjà quelqu’un qui prends un professeur par téléphone, s’était bizarre, un mec qui te tutoies après dix minutes de causette et qui te permet de te défoncer la gueule dans son bureau, c’est que : Soit il est dans le même souci que toi, à savoir, il se drogue, soit il a une malformation du cerveau. Bon j’opte quand même plus pour la seconde option, me foutre dans le même sac que ce malade : Non merci.

Sortant une cigarette d’une de mes poches, je l’allumais, soupirant de bien être en me vautrant sur mon siège, un sourire aux lèvres, bien que mal à l’aise à cause du regard insistant que poser le Directeur sur moi, me faisant sauter de mon petit nuage.

« Enfaite, si vous voulez que je reste, pourquoi vous m’avez fait venir dans votre bureau ?
- Pour t’expliquer le fonctionnement d’Infinite World bien sûr.
- Le fonctionnement ?
- Infinite World n’est pas un établissement comme les autres. Expliqua t-il. Ici, il existe plusieurs groupes, douze bien exactement, séparer par caractères, chacun ont un chef de clan. Mais la question primordiale, c’est : ‘‘Veux tu faire partis de la Battle ? ’’ Si oui, alors un guide t’es décerné, et ...
- Et ? Demandais-je, interpellée.
- Ta mission est de le tuer ! »

Je me suis levée d’un coup, frappant violemment le bureau en hurlant.

« Pardon ? Vous faites entre-tuer des enfants ? Mais pourquoi ?
- Hein ? Mais c’est marrant.
- Non ce n’est pas marrant du tout ! Au contraire ! Mais comment pouvez-vous ?
- Allons Nobody, calme-toi, ça ne sert à rien de t’énerver.
- Je me tire. Hurlais-je, attrapant ma valise.
- Pourquoi ? Tu étais bien contente que je te récupère, non ?
- Je préfère finir sur les trottoirs !
- Allons ne sois pas idiote, ici, tu seras logée, nourrie, tu te feras des amis, et ...
- Et ? J’ai déjà des amis en Amérique, et puis ... Je soupirais. Oh et puis merde, de toute façon j’peux pas rentrer, j’ai pas une tune pour payer l’avion. »

Je finis par me rasseoir, écoutant sans grand intérêt les paroles de cet odieux personnage, oui, il était vraiment fou ...



Tuer des gamins simplement pour se divertir, ça me dégoûtais à un point, pourtant il n’avait pas tord, un billet d’avion n’est pas donné, je ne vois pas comment je pourrais me payer le retour sans pourrir sur un bord de trottoirs, j’ai jamais rien foutu de ma vie, j’ai jamais été bonne à l’école, juste une merde incapable de s’occuper d’elle. C’est une tape sur la tête qui me fit revenir sur terre, posant un regard interrogateur au Directeur qui me souriait toujours bêtement. Il m’invita à le suivre pour me faire visiter l’établissement qui s’éveiller juste, la vie scolaire, les salles de classe, les cuisines, réfectoire, jardins, tout, sans oublier le moindre endroit avant de me laisser devant ma chambre, mes clés à la main, fatiguée.

J’ouvris sans perdre de temps, fermant à clé derrière moi, sait-on jamais, avant de m’étaler pour le matelas s’offrant à moi, tellement exténuée, j’ai fini par m’endormir, une heure, ou peut être deux, voir trois, ou encore plus, je me souviens plus, tout ce que je sais, c’est que je me suis réveillée au milieu de l’après midi ... en fin de compte, j’avais sûrement plus dormi que quatre heures. J’en profitais pour ranger mes affaires correctement et de sortir, esquivant le plus d’élèves possible avant d’arriver, non sans peine, à la salle des professeurs où plusieurs paire de regards se posèrent sur moi, me faisant rougir violement avant que je ne m’avance lentement, me servant timidement une tasse de café, mal à l’aise par tout ses regards.

Ce fou furieux était revenu, me saluant comme un malade, m’informant que je commençais les cours dès demain à la première heure, huit-heures. Soupirant, il me conseilla d’aller me reposer jusqu’au lendemain, je ne me fis pas prier, partant au milieu de sa phrase pour retourner me coucher en râlant ... ça commençait bien ...

Le lendemain fut dur, j’avais éteins mon réveil une fois, deux fois, à la troisième fois, je me fis violement, attrapant les premiers vêtements me tombant sous la main, une simple robe, enfin, c’était avant que la flemme ne m’attrape, posant finalement le vêtement pour sortir à moitié préparée, m’attachant les cheveux en cours de route, en chaussons ... ou plutôt rectification, je n’étais pas préparée du tout, chemise de nuit et chaussons, ce n’était peut être pas une tenue correcte, mais j’étais trop fatiguée pour me changer. Je passais rapidement à la salle des professeurs pour boire un café, puis deux, puis trois, puis la cafetière, puis une deuxième avant qu’on me la prenne de force. Ils devaient déjà tous me prendre pour une dingue, j’en suis sûre.

Huit-heures et trente minutes, j’avais une demi-heure de retard lorsque j’ouvris ma salle de classe où une vingtaine, ou plutôt seulement une quinzaine de regard se posèrent sur moi. M’asseyant sur le bord du bureau, d’abord intimidée, je finis par lâcher bêtement.

« Euh ... Bonjour ? »





« Arthur ! Dis dis, tu m’accompagnes en ville ?
- Tu ne peux pas y aller avec Anderson ?
- Holic elle veut pas ! »

Quatre ans, j’avais rejoins Infinite World depuis quatre longues années, et effectivement, le caractère déjanté du directeur avait déteint sur moi, j’étais devenue encore pire qu’avant, je m’étais rapidement fait une réputation de nymphomane alcoolique, mais j’en est toujours eu rien à foutre, j’avais des amis sur qui compter et des élèves adorables bien que chiants à certains moments. Je m’opposais sans cesse à la Battle, mais rien à faire, il refusait de m’écouter.

Je poursuivais ma vie monotone, en quatre ans, j’avais formé un quatuor avec trois autres personnes, une ancienne gardienne de prison et deux jumeaux, un associable et un hippie. Bon, oui, je dois avouer que le grand associable, c’était peut être le meilleur, chaque jour, je cherchais une nouvelle manière de lui faire perdre ses moyens ou de enrager.

« Alors demande à une autre fille, le shopping c’est entre fille, non ?
- Mais personne m’aime !
- Pauvre petite malheureuse.
- Allez Arthur ! »

Il craquait à chaque fois, dès que je lui demandais quelque chose, je n’avais qu’à insister et il finissait par lâcher, c’était ... adorable. Et cette fois n’échappa pas à la règle, lâchant un soupir, il finit par accepter, sautant de joie, je me jetais à son cou en le remerciant alors qu’il essayait de me repousser du mieux qu’il pouvait. M’ébouriffant les cheveux d’un geste amical mais qui avait aussi l’air de dire ‘‘ Ah la la, quesque je vais faire de toi. ’’ alors que je souriais comme une gamine.

Mon portable se mit à sonner, je décrochais et m’assit sur le lit du blanc, alors que j’étais entré dans sa chambre pour débuter une partie de cartes.

« Allo ?
- Oui, Nobody ?
- Tiens Faust, ça va ? La famille, les amis ?
- Non. »

Sa voix était tremblante, triste, dénuée de sens.

« Quesqu’il y a ?
- C’est Alice.
- Eh bah ? Elle boude encore ?
- Elle est entre la vie et la mort.
- Hein ? Excuse moi ... tu peux répéter ? Je m’étais levée d’un coup, hurlant à travers le combiné sous le regard surpris d’Arthur.
- Un chauffard l’a renversé en la tamponnant de plein fouet, le médecin l’a dit, elle a une chance sur deux de finir en légume.
- Je vois ... je ... Je ne sais pas quoi dire. Je me mordais la lèvre inférieure, retenant mes larmes. Merci de m’avoir informé. Je dois te laisser. Bisous.
- Attends ! Nobody !
- Quoi ? Demandais-je, alors que j’allais raccrocher.
- Toi, tu ferais quoi ? Tu préfères la voir partir ou surv ...
- Laissez la partir merde ! Hurlais-je en lui coupant la parole. Elle supportera pas de devenir un légume, Alice est une hyperactive ! Allez, maintenant je dois te laisser. »

Je raccrochais une bonne fois pour toute, m’asseyant de nouveau avant d’éclater en sanglots, laissant les larmes coulaient en hurlant des phrases incompréhensibles, Arthur s’est approché de moi, me serrant contre lui maladroitement, je m’accrochais à lui comme s’il s’agissait de ma seule bouée pour survivre.

« Je n’arrive pas à y croire ! Comment c’est possible ! Je dois rêver ! Je ...
- Nobody ... Calme toi, tu ne peux rien faire.
- C’est quoi la morale dans cette histoire ? C’est la plus pourrie qui survit et la plus gentille qui meurt ? Ça n’a absolument aucun sens ! Je ne comprends pas ... »

Il resta silencieux, me réconfortant du mieux qu’il pouvait lorsque les deux derniers de notre bande, Holic et Gerald arrivèrent à leur tour. Bizarrement, leur manière de faire était elle aussi maladroite, mais ils arrivaient toujours à me faire sourire.








Dernière édition par Nobody L. Phantom le Dim 2 Déc - 14:33, édité 33 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nobody L. Phantom














Messages : 468

Dossier élève
Mon guide:: /
Mon arme:: /
Chambre: 11
Nobody L. Phantom



« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Empty
MessageSujet: Re: « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-   « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- EmptyJeu 11 Oct - 5:42



« I want to be the main character
in this Happy Ending. »








POV NOBODY

« Vous devez être Mademoiselle Phantom, non ? »

Je levais le regard vers la provenance de la voix, délaissant mon verre d’alcool pour détailler la personne en face de moi.

« Ouais, et vous êtes ? »

Il était trempé de la tête aux pieds, essoufflé et quelques rougeurs au visage. Des cheveux grisâtres courts, bien qu’assez grand, il ne présentait presque aucune musculature, fixant la blonde de ses billes grises d’un air timide, cachant un rictus blasé, du moins, c’est ce qu’il ma laissé paraître. Habillé d’un long manteau habillé et d’une casquette de la même couleur. Je me contentais de lui sourire légèrement, il était plutôt mignon, voir même plus que mignon.

« Arthur Oswald, le nouveau professeur d’allemand, on m’a envoyé vous chercher, une certaine Anderson m’a ordonné de vous ramener le plus rapidement.
- Ah. Fut la seule réponse que je réussi à trouver, finissant le contenu de mon verre d’un trait. »

Il ne répondit rien, attendant simplement que je me lève en tanguant, me rattrapant avant que je ne m’étale comme une merde par terre, je le sens hésité. Relevant un regard étonné vers lui, il détourna aussitôt la tête, je laissai échapper un petit rire auquel il répondit en me tirant violemment hors du bar sans me demander mon avis.

La pluie et le vent s’était installé depuis quelques heures déjà, j’avais eu à peine le temps d’arrivé vers dix huit heures que les premières gouttes avaient commençaient à tombés, je comprends pourquoi Holic n’était pas venue me chercher, elle devait paniquer à l’idée de se retrouver sous un orage, quelle petite nature quand même, c’était adorable.

POV NOBODY FIN

Il avait lâché un soupir, tenant la blonde par la taille pour éviter qu’elle ne lui glisse entre les pattes, tenant un pauvre parapluie menaçant de s’envoler au premier coup de vent, l’emmerde totale. Et Nobody qui n’arrêtait pas de s’arrêter toutes les cinq minutes, lâchant des « Mais j’te jure ! J’ai vu un martien passé ! Juste à côté de moi ! Il veut me violer ! J’en suis sûre ! » alors que le pauvre blanc soupirait d’exaspération, tirant toujours plus fort la blonde qui manquait se vautrer dès qu’elle s’éloignait trop de son support, en gros, tous les deux pas, il aurait bien pu la pousser sous une voiture et faire passer ça pour un accident, mais il ne se voyait absolument pas le faire, la supportant durant tout le chemin du retour, en gros une bonne demi-heure en sachant qu’il lui fallut le double qu’à l’aller, traîner une alcoolique à bout de bras alors que cette dernière souhaite aller dans le sens inversé, c’est assez ... complexe.

Pourtant il a réussi à la ramener dans l’enceinte de l’établissement, soupirant une nouvelle fois, cette fois de joie à l’idée de pouvoir se coucher, enfin, c’était avant que la belle blonde ne lui échappe, partant en courant en hurlant une phrase incompréhensible. Elle ne réussit pourtant pas à aller bien loin, rapidement rattrapé par le blanc qui la suppliait de s’arrêter, la tirant alors dans le sens inverse de leur course sous les cris de la jeune femme.

Elle s’est ensuite acharnée sur lui, s’accrochant à son bras en refusant de le lâcher, menaçant de réveiller l’établissement si il continuait à râler comme ça. Il lâcha un soupir, laissant la blonde faire jusqu’à sa chambre, on lui avait attribué le numéro vingt.

« Mademoiselle Phantom, quel est votre numéro de chambre ? Histoire que je vous ramène. Dit-il en posant un regard vers elle.
- Nan mais moi j’dors là ! Répondit-elle en ouvrant la porte d’un coup, faisant face à un jeune homme ressemblant comme deux gouttes d’eaux à son nouveau compagnon. »

Elle passa de celui vêtu de noir à celui présent dans la chambre, se frotta les yeux puis recommença avant de rire bêtement.

« J’dois être complètement petée, j’vois double. Lâcha la blonde avant de se vautrer sur l’un des lits libre sous les regards étonnés des deux hommes.
- Mademoiselle Phantom, vous êtes dans notre chambre et ...
- Viens pioncer au lieu de parler. La coupa la nymphomane en commençant à se déshabiller.
- Quesque vous faites ? Hurla t-il alors que l’autre homme se tourna vers le dénommé Arthur.
- Grand frère, tu m’expliques ce que tu as ramené ?
- Euh ... c’est compliqué. Affirma t-il, s’approchant de la blonde. Écoutez, vous ne pouvez pas vous ...
- Tu vas me faire chier encore longtemps ? Questionna l’alcoolique en plongeant son regard dans celui du professeur d’allemand.
- Vous ne pouvez pas vous dévêtir ici ! Ca ... ça ne se fait pas ! »

Nobody lâcha l’affaire, reboutonnant sa chemise en affichant une moue boudeuse en se couchant alors que le noir lâcha un soupir satisfait, se tournant vers son frère qui lui sourit.

POV NOBODY

Je me suis réveillée avec difficulté, m’asseyant sur le lit en me frottant l’arrière de la tête, portant son attention sur l’homme à mes côtés.

« Bonjour. Lança t-il.
- Euh ... Bonjour. Répondis-je timidement d’un signe de la main.
- Vous devriez vous lever, vous allez être en retard à vos cours.
- D’accord. Je me levais timidement. Je suis désolé pour hier soir, je n’étais pas dans tous mes états.
- J’ai remarqué. Affirma t-il froidement, m’invitant à prendre la porte. Si vous êtes prête, j’aimerais partir plus tôt pour trouver ma salle.
- Bien. Dis-je, sortant de sa chambre, suivi par le blanc qui ferma la porte. Tu es le nouveau professeur d’allemand, non ? Ta salle se trouve juste à côté de la mienne, je peux t’accompagner.
- Si cela ne vous dérange pas.
- Je ne te le proposerais pas, et puis, je pourrais me faire pardonner pour hier soir. »

Je me mis à sourire, il m’ignora, commençant à marcher sans attendre que je le suis, j’ai du le vexer hier soir, au pire il apprendra vite à me connaître, après j’espère ne pas l’avoir trop traumatisé. Je lui indiquais la salle en souriant, il ne me lâcha d’un « merci » avant de fermer la porte derrière lui. Cet air sérieux, ses légères rougeurs ... c’était tellement adorable.





Revenir en haut Aller en bas














Contenu sponsorisé



« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Empty
MessageSujet: Re: « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-   « I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci- Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

« I want to be the main character in this Happy Ending » | Nobody L. Phantom -à ne pas supprimer malgré ma v.2, merci-

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Aaron J. Blackwell -Meurtrier malgré lui- [Completed]
» Extraterrestrial ϟ Nobody L. Phantom
» She never let me be happy [ Levy x Nobody ]
» "Beer is proof that God loves us and wants us to be happy" ~♥

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Infinite World :: Zone 00 :: Archives RP-